L’amère
Qu’on voit tancer
Le long des golfs si chers
A des relents réac-
-tionnaires,
Des relents dérangeants
Sous la pluie
L’amère
Qui fait pitié, au fond
Ses blancs bougons
Refusent l’mélange des purs
L’amer –
– bière ou le p’tit jaune, c’est fini !
Oyez
Ces chiens aboyant
Ces pauvres cerveaux rouillés
Voyez
Ces pigeons blancs
Et ces raisons brouillées
L’amère
Les a bernés
Au nom de dogmes de fer
Et au son des tambours
L’amère
A asséché leur coeur, l’a tari
L’amère
Qu’on voit tancer
Le long des golfs si chers
A des relents réac-
-tionnaires
Des relents dérangeants
Sous la pluie
L’amère…
Librement inspiré de « La Mer » de Charles Trenet
Et que dire d’une mère
de son enfant ne sachant,
encore heureux,
le destin si amer
dans cette mer de campements !
Tous,les mains se lavant
…pour d’amères thunes ?
Allez;
encore un amer si’ou plait!
Merci Vot’K d’avoir osé sortir de ton bois, et de faire profiter la Kommunauté des Kfards d’une tournée générale de ton alambic. Tchin tchin
Merci pour ton cri aussi fort poétiquement que poignant politiquement…
Oui, la Mer de Charles (Trénet ) ne mérite pas l’ignominie que lui imposent certains requins à tête humaine ( je ne parle pas du cerveau ). Cette situation ne peut hélas que grandir foncièrement le kfard du Kfard
Et rendre également Cafards tous ses lecteurs…
Merci d’élever ainsi leur humanité